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samedi, octobre 21, 2006

En attendant le métro...

Je ne sais pas pourquoi...mais à chaque fois que tu es là... je m'embrouille... je ne parle plus... je ne dis plus rien...je m'éclipse un moment...je reviens parfois...avec des traits durs...froids...secs...à la limite de l'épouvante...j'ai peur d'ouvrir ma bouche...que ce que je dise soit louche...de prononcer une connerie...cependant en faisant ainsi...je me condamne à vie...
Ton indifférence me pourrit l'existence...mon âme devient une flamme en incondescance...flamme qui a vu le jour subitement...sur un coup de tête...plutôt sur un beau coup d'oeil...poursuite infinie de l'âme soeur...poursuite vaine de l'élue de mon coeur...
devant le lycée...mon âme effritée...tes regards désintéressés...mes mains moites...et ces sueurs froides...ton charme enivrant...presque excitant...entre ton "moi" et le mien je ne distingue plus rien...et voilà que ça reprend...bavardage précipité...mots insensés...éclats de rire surprenants...cache col presque attrayant...couleurs d'une attirance magistrale...harmonie pronvinçale...décors ancestral d'une ville en perte de charisme devant la posture d'une fille divine...
Exagérons encore un peu....oublierons nous ainsi nos sentiments malheureux...cependant chanceux...d'avoir trouvé un ange du miséricordieux...

4 commentaires:

houssem a dit…

fermer la bouche coute parfois plus cher que que dire des conneries

Affrikkanovic a dit…

ça c'est sûr...de plus je suis une preuve vivante de la véracité de cette hypothèse...

Anonyme a dit…

c vrai que parfois tellement on aime la personne qu'on oublie qu'ellel est la source de nos peines...

Affrikkanovic a dit…

et c'est ce qui fait la beauté de l'amour en fait...mais à trop en souffrir...on commence parfois à se demander si ce n'est pas trop quand même...